Doctor Who: L'attaque des cybermen.

Coucou les gens! Voici une petite fiction que j'ai écrite pour un concours d'écriture sur un autre forum ^-^ Vous pouvez, bien sûr, commenter! La voilà donc:


Intro (dans la peau de Léna) : Il faisait froid, il faisait sombre. J'attendais avec impatience de voir si c'était vrai. Puis il sortit de nulle part, oui, lui, cet homme venu d'ailleurs, seul au monde, un agent du temps. Et le temps était détraqué, l'univers se fissurait, m'avait dit Jack... Jack et John, les deux derniers agents du temps....
Et il y avait aussi le Docteur. Doctor Who, l'avait appelé Madame de Pompadour. Elle lui avait parlé, au Docteur, elle l'avait aimé et avait dit qu'il fallait supporter un monde de démons pour avoir droit à l'amour d'un ange... Et le Docteur était un ange solitaire, venant de la planète Galifrée....
Il a si souvent sauvé le monde, il a si souvent agi dans l'ombre, et jamais il n'a été remercié. Seul au monde, dernier de son espèce, voyageant dans sa cabine bleue, son TARDIS, sauvant le monde en très peu de temps, et ayant toujours son tournevis sonique sur lui....

Suite : La cabine bleue apparut, le vent était encore plus glacial... Le Docteur sortit du Tardis, respira et appela Rose et Mickey.
-Oh, le Tardis nous as encore menés sur Terre… soupira Rose.
Le Docteur sortit son tournevis sonique.
-Nous sommes à Cardiff ! Le Tardis a été attiré par une faille spatio-temporelle !
Le Docteur vit une femme au loin. Il courut vers elle, suivi de Rose et Mickey.
-Hello ! Je suis le Docteur, et vous êtes….
-Bonsoir Docteur. Je suis Léna.
John arriva vers eux.
-Bonsoir. Je suis John, un des deux derniers agents du temps. (Il se tourna vers le Docteur.) Vous devez être le Docteur. Je suis enchanté de vous voir. J’ai toujours rêvé de rencontrer un seigneur du temps. En fait, vous êtes le dernier…. Ça ne fait pas si longtemps que ça que vous êtes le dernier de votre espèce, non ? Il y avait le Maître il y a encore quelques mois. Je parle trop, n’est-ce pas ? C’est un de mes plus grands défauts. (Il se tourna vers Léna.) Enchanté, vous êtes ?
-Je suis Léna. Docteur, Rose Tyler, Mickey et John, suivez-moi, mon patron aimerait vous parler.
-Votre patron ?, questionna le Docteur.
-Oui, répondit-elle.
Léna, le Docteur, Rose, Mickey et John allèrent vers une voiture noire. Ils montèrent dedans, Léna au volant. Elle conduisit jusqu’à une tour de Cardiff. Puis ils allèrent tous sur une dalle. Elle descendit, à la grande surprise de tout le monde sauf Léna. Ils arrivèrent dans Torchwood. Un genre de dragon (le Docteur se rendit compte que c’était un ptérodactyle) volait à l’intérieur.
-Bienvenue dans Torchwood !, s’exclama Léna. Suivez-moi !
-Torchwood ? Torchwood, vous êtes sérieuse ? s’écria le Docteur. Jack Harkness, où est-il ? Et Gwen Cooper ? Et Toshiko Sato ? Ianto Jones ? Suzie Costello ? Owen Harper ?
-Suzie est….morte, ainsi que Tosh’ et Owen… Il ne reste plus Jack, Gwen et moi.
Léna avança vers le bureau de Jack.
-Hey Jack ! John et le Docteur sont arrivés !
Personne ne se demandait comment cette Léna savait leurs noms… C’était sûrement Jack qui lui avait dit. Oui, le capitaine Jack Harkness lui avait sûrement dit… Cet homme lui aussi hors du temps… Un agent du temps, venant du 51ème siècle ! L’homme immortel, VRAIMENT immortel…. Quoi que l’on fasse, quoi que l’on tente, il ne meurt pas… C’est étrange, n’est-ce pas ? Lui-même ne sait pas pourquoi il a le don de ne pas mourir, il ne sait même pas comment il l’a acquis. Il sait juste qu’il l’a, et pour lui ce peut bien être un fardeau… Quand il se régénère, ça doit lui faire mal, très mal… On peut croire que c’est une chance de ne pas mourir, mais en réalité c’est bel et bien un fardeau, de savoir qu’on vous tue, peu importe comment, par exemple en vous arrachant le cœur ; et qu’une nouvelle vie en quelque sorte commence, car vous vous reconstruisez entièrement autour d’un membre…. Les seigneurs du temps, eux, ne sont pas tout à fait immortels… Le Docteur, par exemple, s’il est blessé, il se régénère, mais si on le tue, pour qu’il se régénère et change de corps, il faut absolument qu’il soit dans sa boîte bleue, son Tardis… Il a beau avoir trois cœurs, il y a bel et bien des moyens de le tuer… Ou de l’éliminer en quelque sorte, de faire en sorte que plus personne ne se souvienne de lui, oui, il y a une solution pour l’enfermer à tout jamais sans le tuer…. L’enfermer dans la Pandorica. Enfin, ça, personne ne le sait encore, ou en tout cas très peu de monde. Le Docteur, lui, ne sait pas ce qu’est la Pandorica… Il le saura bien assez tôt, oui, sa soi-disant femme lui apprendra…. Quand il voyagera avec Amy Pond, le Prisonnier 0 lui révèlera l’existence de la Pandorica ; malheureusement pour lui le Docteur n’en saura pas plus…. Et River Song ne lui en apprendra pas plus non plus… Le Docteur le découvrira par lui-même lorsque la Pandorica s’ouvrira…. Mais nous avons assez divagué sur ce sujet, revenons au moment présent.
Jack se leva et sourit au Docteur.
-Docteur ! (Il se tourna vers John.) Et John ! C’est un plaisir de vous revoir tous les deux ! John, sais-tu précisément comment tu es arrivé ici, à Cardiff ?
-Non, pas vraiment, mais ça ne m’intéresse pas plus que ça, répondit l’intéressé.
-Et bien moi, je vais te le dire quand même !, s’exclama Jack. (Il alluma un ordinateur.) Tu vois, ce truc bleu sur la carte ? (Il montra une rayure bleue sur l’écran.) Tu es arrivé par cette route, OK ? Bon ; le truc bleu est quelque chose de vraiment très important, important pour nous…. C’est une faille spatio-temporelle, en clair pour ceux qui ne comprennent pas (il sourit à Rose et Mickey), c’est une faille qui traverse le temps et l’espace.
-Ça, je le savais déjà, dit le Docteur. L’univers se fissure, et c’est ainsi qu’apparaissent les failles de ce genre ! Parfois elles s’élargissent, elles veulent de l’énergie qui n’est pas humaine, de l’énergie d’un objet ou d’une personne en dehors du temps, oui, un voyageur dans le temps…. Mais pas seulement un humain, non, loin de là ! L’énergie que les failles réclament est par exemple l’énergie de seigneurs du temps, d’anges pleureurs…. Quelque chose hors du temps quoi, d’immortel ! (Il réfléchit.) Assez divagué sur les failles et ce qu’elles sont, d’où elles viennent. Le Tardis a été attiré par cette même faille.
-Je sais, je sais, dit Jack. Je savais que vous alliez arriver, en fait. Pourtant on n’a aucun problème particulier…. (Il se leva.) On sort ?
Tout le monde sortit du Q.G de Torchwood.
-Hum, est-il possible d’aller voir le Tardis et de le déplacer ?, questionna le Docteur.
-Oui, bien sûr ! répondit Léna.

Le Docteur, Rose, Mickey, John, Léna et Jack se dirigèrent ensemble vers la rue où se trouvait le Tardis. Le Docteur le déplaça dans une ruelle puis en sortit avec tous les autres. Ils entendirent des bruits de pas. Ils regardent d’où cela venait. Des formes grises et bizarres sortaient de la faille, qui se n’était pas encore fermée.
Ils étaient en métal, ils avaient une chair de métal.
-Chair de métal…. Et l’immortalité d’un corps intemporel. Des cybers men, dit Jack.
-Oui, des cybers men. A l’intérieur, ils ont un cerveau humain…. Les pauvres, heureusement pour eux, ils ont un inhibiteur d’émotions… Si les cybers men pouvaient se voir, ils deviendraient fous à lier, peut-être qu’ils en mourraient, dit le Docteur.
-Et mais attendaient, j’ai déjà vu des cybers men ! s’exclama Rose. Dans le monde parallèle ! Celui où on s’était retrouvés bloqués, et celui dans lequel mon père était toujours en vie !
-Oui, l’univers parallèle…. On s’y était retrouvés tous les trois parce que le couloir du temps c’était effondré, ce qui est impossible ! On a été bloqués 24 heures là-bas car l’énergie du Tardis provient de cet univers ci, et je l’ai rechargé en perdant 10 ans de ma vie… En attendant, il faudra qu’on se batte contre ces cybers men, encore une fois…. Une lutte éternelle, en quelques sortes, dit le Docteur.
-On se moque de cet univers parallèle ! s’exclama Jack. Ils vont nous repérer, c’est ça que vous voulez ? Non mais parce que si vous voulez mourir ou être transformés en cybers men, dites-le tout de suite !
Les cybers men avançaient droit devant eux, leurs semelles faisaient du bruit. Ils avaient un air terrifiant, avec leur corps de métal…. Le Docteur soupira, puis rentra dans le Tardis. Rose le suivit.
-Rose, savez-vous ce que signifie TARDIS ? demanda-t-il.
-Vous me l’avez dit, mais je ne m’en souviens plus…. Vous n’étiez pas sous cette forme-là, en tout cas, répondit la jeune fille. Vous me l’avez dit quand les mannequins en plastique vivant attaquaient…
-TARDIS signifie tout simplement Temps A Relativité Dimensionnelle Inter Spatiale, dit le Docteur. Ce n’est pas forcément utile de le savoir mais bon…

Il soupira.
-Encore un monde attaqué par les cybers men…. Je ne pense pas que l’on puisse vraiment les détruire, tout comme les Daleks, dit le Docteur. Ce qui est certain, c’est que l’on risque de se faire tuer par eux, et que quelqu’un avec beaucoup d’imagination est derrière tout cela. Croyez-vous que c’est le Lumic de cet univers, de ce monde ci ? Oui, sûrement. (Il regarda le vide.) C’est même certain ! Je le savais déjà ! Oui, c’est le Lumic de cet univers, lui aussi malade, encore plus mourant que celui du monde parallèle ! Il a juste fait une expérience pour voir si les cybers men vivraient, et ils vivent en quelque sorte ! Et maintenant, il a décidé d’envahir la Terre avec ses hommes de métal, de faire de la Terre une planète de fer peuplée par des hommes de fer qui ont des pensées de fer…. Il va encore une fois tuer l’imagination ! Oh il faut que je l’arrête !
Rose le regardait. Le Docteur sortit et appela Mickey. Une fois avec ses deux accompagnateurs, il tapa quelque chose sur le clavier du TARDIS, puis poussa une manette.
-Il va remonter un signal ! Lumic contrôle ses cybers men depuis une certaine zone, il envoie un signal depuis un endroit… Donc le TARDIS va remonter ce signal et nous conduire dans une ruelle proche de l’émetteur ! Ingénieux, n’est-ce pas ? cria le Docteur.
-Sûrement, répondit Mickey. Même si j’ai rien compris à ce que vous avez raconté.
-Ah Mickey l’idiot ! Vous n’avez pas compris, c’est pas grave ! dit le Docteur.
Le TARDIS atterrit, faisant comme toujours son petit grincement que le Docteur aimait tant.
-Oh, nous voilà arrivés ! s’exclama le Docteur. Fabuleux ! Tout le monde descend, allez, allez !
Tout le monde descendit, le Docteur en dernier. Il ferma la porte du TARDIS à clef, puis regarda le paysage. Il sortit son tournevis super sonique. Il sonda l’air et repéra une zone où le bruit était très étrange. D’après le Docteur, le signal provenait de cette zone-là. Jack pensa soudainement que c’était plus facile que cela en avait l’air. Mais avec le Docteur, tout pouvait devenir plus facile en un claquement de doigt… Oui, avec lui, n’importe quel problème se réglait rapidement. Mais en ce moment même, seul vaincre les cybers men était important.

En effet, les cybers men étaient un vrai danger pour le monde. Imaginez ne serait-ce qu’une seconde d’être une de ces machines horribles, imaginez un monde rempli de ces carcasses de métal. Ce serait ennuyeux, n’est-ce pas ? C’était peut-être en partie pour cela que le Docteur voulait détruire les cybers men. Comme il voulait détruire les Daleks, mais nous y reviendront sûrement plus tard. Ce qui était sûr, c’est qu’en ce moment même, il voyait les cybers men marcher vers l’endroit d’où le signal provenait. Une usine de Lumic. Evidemment. Le Docteur sortit des genres d’oreillettes.
-Docteur, elles n’existent même pas dans ce monde…, remarqua Rose. On peut rentrer normalement, non ?
-Ah euh oui, tout juste, admit le Docteur. Rentrons donc normalement, sans s’équiper de ces bidules par lesquels Lumic prend le contrôle de ces cybers men. Tout ce que nous avons à faire, c’est éviter la transformation, surtout éviter la transformation…
-Gwen, reste dans le TARDIS, ordonna Jack. Désolé, mais Léna est la petite nouvelle et n’a jamais été dans une situation comme celle-ci, celles où il y a le plus d’action. Il faut bien que quelqu’un surveille cette machine fantastique, non ? Même si les cybers men ne peuvent pas rentrer dedans….
-Ça marche pour moi, Jack, répondit Gwen.
Elle regarda John avec une mine de dégoût. Faisons une petite pause pour parler d’un évènement passé, concernant une collaboration de Torchwood avec ce dit John, cet agent du temps. Il s’était déjà retrouvé à Cardiff à cause de la faille spatio-temporelle qui traverse la ville. Il avait berné tous les membres de Torchwood, et paralysée Gwen en l’embrassant avec du rouge à lèvres paralysant. Puis il avait soi-disant tué Jack, il ne savait pas que ce dernier était immortel… Voilà pourquoi, depuis ce jour, elle le hait tant. Elle a du mal à croire qu’une nouvelle collaboration, cette fois contre les cybers men, ait lieu. Elle ne voulait pas admettre qu’il avait l’air différent de l’autre fois, mais pourtant il l’était ! Gwen se dit ensuite que si le TARDIS l’avait accepté comme visiteur, c’est qu’il avait bel et bien changé, car quelqu’un qui a fait de tels actes et qui n’a pas changé du tout, d’après elle, ne serait pas accepté dans le TARDIS…

Le Docteur sortit sa clef du TARDIS, l’ouvrit et sourit à Gwen.
-C’est ouvert, lui fit remarquer le Docteur.
-Ah euh… Oui, merci, répondit Gwen.
Elle se hâta d’entrer dans le TARDIS puis ferma la porte. Elle souffla un bon coup. Etait-elle en train de rêver, ou était-ce la réalité ? Oui, elle avait déjà vue un cyber man…. Une fille que Ianto aimait, qui était sur le point de mourir, et qu’il a voulu sauver en la transformant… Sa transformation n’était pas finie, mais suffisamment pour qu’elle ait perdu toute humanité. Elle avait déjà hérité de son inhibiteur d’émotions, en fait. Pauvres gens…. Lumic les a détruits, et eux ils croient qu’ils ont été améliorés…. Revenons au moment présent, et cessons de parler des événements passés.

Le Docteur rentra dans l’usine par un tunnel, suivi de Mickey, Jack et Léna. Rose et John, tant qu’à eux, rentrèrent par l’entrée principale. Des tas d’humains, qui eux étaient contrôlés par leur téléphone portable, rentraient dans l’usine. Rose et John s’étaient incrustés dans une file et ne montraient aucun signe d’émotions pour simplement ne pas se faire repérer. Rose s’était dit que ça tombait bien que son portable était hors d’usage, parce que sinon elle aussi aurait été contrôlée.
-Docteur….. Qu’est-ce que vous avez ressenti quand vous aviez vu le Maître et que vous aviez su que lui aussi était un Seigneur du Temps ? Vous avez été content de ne plus être le seul de votre espèce ? demanda Jack.
-J’ai été assez content, mais ses actes n’étaient pas dignes d’un Seigneur du Temps, répondit le Docteur. Il était devenu fou. (Il continua d’avancer dans le tunnel.) Il voulait absolument prendre le contrôle de la Terre par le réseau Archange… Il disait qu’il entendait le bruit des tambours… Je le plaint, ce pauvre Seigneur du Temps désormais défunt…. Mais ce n’était pas une raison pour essayer d’attaquer la Terre, planète protégée par un certain décret, de plus.
-Oui, je comprends, conclut Jack.
Ils continuèrent d’avancer dans le tunnel. Le Docteur vit une échelle et la monta. Puis il ouvrit une trappe grâce à son tournevis sonique. Jack, Mickey et Léna le suivirent, puis le Docteur referma la trappe et la scella toujours grâce à son fameux tournevis.
-Il faut trouver le code des inhibiteurs d’émotion des cybers men. Ainsi, ils se rendront compte de ce qu’ils sont et cette planète ne sera plus menacée par eux. Et peut-être ça les tuera, comme dans l’univers parallèle, dit le Docteur. Mickey l’idiot, allez dans la salle de contrôle avec Léna, vous trouverez ensemble le code. Il doit être en 9 binaire, comme la dernière fois.
Mickey et Léna partirent en courant et trouvèrent la salle de contrôle. Mickey se hâta vers l’ordinateur et vit par le biais d’une caméra que le Docteur et Jack avaient été capturés et menés devant Lumic. Le Docteur racontait du charabia, en disant que n’importe quel idiot pouvait se servir d’un ordinateur et trouver un code en 9 binaire. Cela rappela étrangement l’univers parallèle à Mickey. Le Docteur avait fait exactement pareil. Et Lumic était déjà transformé, et il lui disait que le Docteur disait absolument n’importe quoi.

Mickey s’activa sur le clavier et trouva assez rapidement le code avec l’aide de Léna. Le Docteur dit ensuite que son bouton préféré était le bouton Envoyer. Léna envoya le code sur le téléphone portable de Jack.
-Docteur ? C’est pour vous ! dit Jack en lançant le téléphone au Docteur.
-Merci ! répondit le Docteur. (Il attrapa le téléphone au vol et l’inséra dans une machine.) C’en ai fini pour vous et vos cybers men, Lumic. C’était le code des inhibiteurs d’émotion.

Tous les cybers men, mis à part Lumic, se tenaient la tête et se contorsionnaient dans tous les sens, puis s’écroulaient. L’emprise de Lumic, via les portables, sur les humains pris fin, et ils s’échappèrent tous en criant. Mickey et Léna partirent en courant, ainsi que le Docteur et Jack, car l’usine prenait feu. Ils croisèrent Rose et John, puis Léna demanda au Docteur :
-Qu’est-ce qu’il se passe ?
-Il se passe que les cybers men se rendent compte de ce qu’ils sont, et que ça les tue ! répondit le Docteur.

Ils sortirent tous de l’usine Lumic et partirent en courant dans le TARDIS.
-Gwen, bougez s’il vous plaît ! hurla le Docteur.
Celle-ci, appuyée contre la console de contrôle du TARDIS, partit sur le côté. Le Docteur actionna plusieurs leviers. 1 minute plus tard, le TARDIS avait atterri dans le Q.G de Torchwood.
-Alors, que se passe-t-il pour les humains déjà transformés ? demanda Léna.
-Ils étaient déjà morts lors de leur transformation, mais leurs douleurs ont vraiment pris fin…, répondit le Docteur.

Tout le monde descendit du TARDIS.
-Excusez-moi, mais le voyage nous attend, Rose, Mickey et moi, dit le Docteur. C’était un plaisir.
Il monta dans le TARDIS.
-Au revoir, dit Rose.
-Tchao les potes ! Je penserais à venir vous voir sûrement un jour ! conclut Mickey.
Ils rentrèrent dans le TARDIS.
-Et maintenant Docteur ? Où allons-nous ? demanda Rose.
-Sur une planète sûrement ! Laissons mon joli petit TARDIS choisir notre destination ! répondit-il.

Dans un dernier grincement, le TARDIS disparut du Q.G de Torchwood, et en partant, provoqua un grand souffle faisant voler des papiers ici et là.